Chronique #1 : L’importance de la communication positive au quotidien

Par Audelya B. 

Temps de lecture:  minutes

L'importance de la communication positive dans une société toujours plus tournée vers l'individualisme. Découvrez comment la communication peut sauver des conflits relationnels.

Note : Audelya, jeune avocate et médiatrice en devenir, va vous parler de l’importance de la communication dans un couple et de manière générale. C’est le sujet de sa première chronique. Bonne lecture.

Dans cette première chronique, je vais vous expliquer à travers divers exemples de la vie quotidienne, l’impact de la communication sur le mental.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, utiliser la parole pour s’exprimer n’est pas toujours évident.

Pourtant, elle peut apaiser les tensions et améliorer votre vision positive de la vie en général. Plus encore, elle peut guérir les plus grandes relations conflictuelles.

J’insiste sur l’importance de communiquer, de dialoguer, car j’ai remarqué que même si parler est une capacité mise à disposition de l’humanité depuis la nuit des temps, on ne s’en sert pas assez !  C’est bien dommage, car elle peut agir de façon importante quotidiennement en vous allégeant le poids de la vie.

On est tous doté de la parole, mais parfois j’ai l’impression que c’est beaucoup plus pour dire des choses inutiles ou des choses négatives, que des choses constructives et positives.

À l’heure où dans le monde l’hyperconnexion est maître de chacun, où les relations ne tiennent qu’à un réseau social, la communication par la parole s’estompe de plus en plus laissant place à l’individualisme.

C’est triste.

Les gens s’enferment petit à petit dans leur bulle sans s’en rendre compte. Et dès lors qu’une personne ose y pénétrer, ils se sentent mal à l’aise, voire agressés.

Par exemple si vous prenez les transports en commun, pouvez-vous me dire comment était la personne assise en face de vous ? Vous rappeler comment elle était habillée ? Plus simplement, pouvez-vous vous souvenir du ratio personnes jeunes/personnes âgées ?

Osez regarder

Regardez.

Observez le nombre de personne pouvant se trouver dans un même train ou même bus sans se regarder, sans se parler, ne prêtant attention uniquement à leur portable qu’elles regardent ou à la musique qu’elles écoutent.

C’est comme si chacun se construisait une petite barricade autour de lui.

Je parlais d’individualisme. Justement.

Corrigez-moi si je me trompe, mais la seule chose qui vous importe à ce jour n’est plus de vous demander comment vous pourriez aborder cet(te) inconnu(e) et entamer une discussion avec lui/elle, ou encore comment vous pourriez faire pour donner un peu plus de positif à la personne en face de vous.

C’est simplement vous, vous et tout ce qui gravite autour de vous. Vos sentiments, vos ressentis, votre aptitude à faire les choses.

Qui d’entre vous se demande encore quelles expériences il peut encore faire pour exploiter sa journée au maximum ? Ou encore, quel inconnu aborder pour se donner le suspense de savoir si cette rencontre impromptue fera changer le cours de sa journée ? Qui se soucie de la vision de l’autre sur un sujet quelconque ? Qui se penche vraiment dans ses relations sociales et intimes pour savoir si la communication est vraiment présente ?

C’est la révolution de l’époque du partage qui s’évanouit sous le poids de l’avènement du « Je ».

La société devient de plus en plus individualiste.

J’appelle ça les « Fast-food relations ». Dès lors que ça ne va pas, on casse et on passe à autre chose. Alors que la communication pourrait sauver tellement de situations…

Je vais vous demander d’imaginer quelque chose.

Imaginez-vous dans un bus. Vous avez vos yeux rivés sur votre téléphone portable. Vous explorez vos messages, vous checkez vos notifications Facebook ou Twitter… Bref, vous vous occupez pour passer le temps.

Soudain, c’est le drame.

Une personne vous écrase malencontreusement le pied, en vous faisant très mal.

Ma question est très simple :

Comment réagiriez-vous ?

Malheureusement, la plupart des gens réagiront d’une manière assez peu recommandable : un mauvais regard, une réflexion, des insultes, et même parfois un scandale.

C’est ce qu’on appelle tout simplement la réaction.

Si pour certains, réagir est la preuve d’honneur et d’amour-propre, elle est souvent le signe de faiblesse, de mauvaise observation et plus particulièrement d’une blessure émotionnelle.

Prendre le temps d’observer

J’ai quelque chose à vous proposer.

Si, au lieu de réagir ainsi, vous preniez le temps d’observer ?

Reprenons l’exemple des transports en commun.

Exemple du bus quand il y a beaucoup de monde. Observation consciente des personnes.

Vous observez effectivement qu’il y a du monde dans ce bus. Que celle qui vous a écrasé le pied a cédé sa place à une personne âgée et s’est tenu en équilibre le temps de retrouver la stabilité en posant son pied.

Puis, vous vous rendez compte que c’est parce que cette personne n’a pas pu voir le sol du fait du nombre de personnes qui cachaient son pied, qu’elle l’a posé malencontreusement sur le vôtre.

Mais à présent, dites-moi.

Cette personne s’est-elle excusée au moment où elle a senti son pied rencontrer le vôtre ?

Même pas ?

Alors, imaginons qu’elle ne se soit pas excusée.

Peut-être que c’est parce qu’elle ne jugeait pas utile de s’excuser pour une simple inattention. Peut-être qu’elle a senti qu’elle allait déraper, c’est possible n’est-ce pas ? Peut-être même qu’elle ne savait pas à qui était le pied pour pouvoir s’excuser. Peut-être…qu’il y a encore d’autres raisons.

Ce n’est donc pas une honte que d’essayer de se mettre à la place de l’autre pour comprendre sa situation.

C’est ce qu’on appelle la compassion.

Honnêtement, maintenant que vous avez pu mieux observer la situation, entre nous, cette personne mérite-t-elle autant de dédain ?

Vous savez quoi ? Le monde actuel s’est forgé d’honneur, de rancœur et de vengeance.

On est prêt à tout pour avoir raison, pour se faire respecter. Malheur à celui qui nous regarde mal, qui nous décroche un sourire. Malheur à nous-mêmes de dire « pardon » et d’avouer son erreur.

Je dirai que les principaux problèmes qui touchent les humains ne se regroupent qu’en un problème majeur : l’ego.

La principale cible de l’ego, c’est la communication. Il s’attaque à la faculté la plus évidente de l’homme et la plus inhérente à lui pour l’empêcher de l’exercer.

Dans cet article, je me focaliserai sur la communication.

Se sensibiliser au dialogue pour éviter la souffrance

Je m’appelle Audélya, j’ai 25 ans, et je suis actuellement élève avocate depuis deux mois. Malgré mon jeune âge et mon manque d’expérience, j’espère faire du rôle de l’avocat non plus celui du défenseur coûte que coûte des intérêts de son client, mais celui du rétablisseur de communication. Un avocat équilibriste des intérêts afin que chacune des parties puisse y trouver son compte. Certes, cela passera par la défense de la personne qui m’aura sollicitée, mais à la condition qu’elle soit ouverte à un règlement à l’amiable.

Une journée spéciale a été organisée par l’école où des intervenants nous ont formés sur cette pratique de l’amiable de plus en plus répandue. Moi qui aspire à rétablir la paix dans chaque conflit depuis mon entrée à l’université, j’ai pris conscience de l’importance d’évoluer dans un cadre d’entente respectueux et cordial.

L’exemple du divorce

Prenez l’exemple du divorce.

Je n’ai rien à vous apprendre sur l’hécatombe des mariages qui coulent et croulent sous le poids des disputes et des rengaines. La preuve en est, les chiffres sont alarmants : en France, près de 45% des mariages finissent par un divorce. Aux États-Unis, c’est pire.

Je me suis fait une réflexion.

Des époux qui divorcent doivent-ils pour autant effacer les années qui les réunissaient ? L’amour devient-il inexistant dès qu’une mésentente, une trahison, ou une tromperie a été déclarée ?

Pourquoi se faire la guerre au lieu de trouver des solutions constructives ?

En réalité, la plupart des personnes n’acceptent pas les évènements du passé qui se sont produits. Il serait beaucoup plus formateur de travailler sur leur relativité: ce qui est fait est fait.

Cela appartient au passé. Ce n’est déjà plus du présent à peine cette chose produite.

Cette erreur pour certains, cette horreur pour d’autres, finit par hanter vos esprits en même temps qu’elle vous enferme dans un dialogue intérieur. Elle vous coupe de la réalité de ce qu’est véritablement l’autre.

Par cette tourmente, vous en venez à le diaboliser.

Alors vous vous en voulez profondément de lui avoir accordé votre confiance entière et vous vous sentez démuni de toute chose. La seule arme qui vous reste c’est de faire mal. De vous faire mal.

Vous devenez tout ce que vous n’étiez pas

En ne communicant pas, vous refoulez le problème et vous laissez ce problème vous faire du mal. Dialoguez et trouvez une solution ensemble.

C’est humain.

Parce que vous pensez vous être trompés et que le demi-tour est impossible, vous optez pour la solution de facilité : vous changez de sens.

C’est votre instinct de survie. Quand il ne vous reste plus rien, vous faites parler votre amour propre. Comment avez-vous pu vous infliger cela ?

Vous devenez tout ce que vous n’étiez pas : aigri, désagréable, doué d’un esprit de vengeance. Vous vous recroquevillez parfois, refusant d’établir la conversation avec vos amis sur un sujet quelconque. Pour beaucoup, vous n’osez pas dire ce qui vous fait mal. Vous le rejetez d’ailleurs ce mal. Chacun y va à sa façon : par la parole ou par le silence, par la vengeance établie par le rire ou par les larmes.

Vous allez à contre nature. Vous n’acceptez pas de vous être trompés. Alors vous en voulez à l’autre de toute votre âme !

Pourtant, le comportement de l’autre nous affecte autant du seul fait que nous n’avions pas vu son côté tangent.

Jamais vous n’auriez pensé une telle trahison de la personne que vous avez aimée.

En réalité, vous vous en voulez à nous-mêmes, car finalement la personne face à vous n’est que votre miroir.

Ce qui nous dérange reflète en réalité une partie émotionnelle en nous qui n’est pas intégrée. Lirone vous parlera de ce sujet de manière plus approfondie. D’ailleurs, vous devriez lire l’article suivant : le bonheur, et si tout se jouait avant 30 ans ?

Dans tous les cas, en restant à ruminer et en rejetant constamment la faute sur l’autre, nous en oublions le fait que les procédures judiciaires sont extrêmement longues, coûteuses, et nous enferment un peu plus chaque jour dans le silence qui nourrit notre haine.

Finalement, ce sont les avocats qui se font la guerre en même temps que la barrière fixée entre les parties se fortifie.

Seulement, à la fin d’une procédure, en admettant qu’un homme adultérin ait été mené en justice par son ex-épouse et que celle-ci ait gagné son procès, les relations entre les deux individus ne changeront pas pour autant.

Ils seront marqués tous les deux par une empreinte émotionnelle.

La femme ne trouvera aucune satisfaction réelle de la défaite de son mari, car en fait, ce qu’elle désire au plus profond d’elle-même, c’est un « pardon ».

Des excuses qui lui permettront de voir la séparation non plus comme une vengeance, mais comme une conséquence d’une relation trop difficile à tenir.

L’important dans ce qui vous arrive, c’est de savoir accepter les choses comme elles viennent, car vous ne pouvez pas les changer. Ne pas hésiter à trouver des solutions pour continuer à garder votre sérénité intérieure qui a été dérangée. Ça se tente. Et c’est ça le plus difficile en fin de compte.

Les parents n’appliquent même pas les conseils qu’ils prodiguent à leurs enfants

Au lieu de ça, beaucoup de parents se comportent comme des enfants, dénués de toute capacité à « faire la paix » avec l’autre. Dit plus simplement, ils sont incapables de relativiser pour aller de l’avant.

Ces mêmes parents qui disent à leur enfant qu’il faut s’excuser, exprimer de l’empathie, ne pas avoir de rancoeur et être dans l’amour du prochain.

En revanche, qu’en est-il pour eux ? Pourquoi ne pas appliquer ses propres conseils ?

L’égoïsme, l’individualisme reviennent au galop.

Ainsi, à chaque étape de la procédure, tout recommence de plus belle. Tout cela nous empêche en réalité d’accepter l’histoire et de poursuivre notre route. Tout cela nous ramène en permanence à l’erreur de l’autre, à notre erreur à nous.

Alors on craque.

On en a marre, on déprime, on entre dans un cercle vicieux qui nous convainc de ne plus vouloir y sortir alors que finalement c’est notre être intérieur qui souffre le plus.

Pourquoi ne pas renverser la tendance ? Pourquoi rester cramponné aux règles de la justice d’état au lieu d’agir avec justesse du cœur ?

Prenons un dernier exemple : imaginez que vous êtes fortement disputé avec un proche et que vous vous êtes couché en vivant des émotions fortes comme la colère et l’incertitude que la solution se règle.

Même si vous avez bien dormi, le problème ne s’est toujours pas réglé. Au fond de vous, cette dispute vous fait encore mal. Pire, pendant la nuit, il n’est pas rare qu’inconsciemment vous ayez alimenté votre colère. Au fur et à mesure des jours ou même des mois qui passent, le problème non résolu vous fait beaucoup de mal. Non seulement mentalement et émotionnellement, mais aussi physiquement ! Tout ceci, vous vide de votre énergie.

Si vous vous dites que ce proche n’y comprend rien. Qu’il est donc inutile de régler quoi que ce soit avec lui car vous ne vous considérez pas fautif, cela s’appelle nier la situation.

Ainsi, chaque fois que vous refoulez un problème intérieur, il continuera de grossir et vous fera encore plus de tort.

Se parler pour trouver des solutions ensemble

Chaque conflit relationnel peut être résolu grâce au dialogue et à la communication positive. Ne ruminez pas et ne refoulez pas le problème en vous.

Le fait de se ressasser en permanence le mauvais d’autrui ancre notre présent dans le passé.

Nous ne vivons plus au présent.

Si notre corps y est, notre esprit n’y est plus.

Pourquoi suicider nos capacités humaines et cérébrales qui sont créées spécialement pour nous faire penser à l’autre, à son bonheur, à ce qui nous permet de survivre et de vivre ?

Voir son enfant reconnaissant et épanoui, n’est-ce pas la plus belle joie d’un parent ? Alors pourquoi le forcez-vous à souffrir de vos propres agissements si c’est pour vous en vouloir plus tard ? Il risque de partir faire sa vie seul en vous y éradiquant ou de préférer vivre chez l’autre parent.

Il risque avant tout de reproduire le même schéma. Il se forcera à aller à contre nature « pour ne pas faire comme vous ». Chassez le naturel, il réapparaît.

C’est pour cela qu’à votre niveau et dès maintenant vous devez penser à l’autre. C’est important de requérir l’avis de l’autre. De son enfant, cela vous permettra d’avoir un point de vue plus objectif. De son futur ex-époux, cela mettra des mots sur vos maux en obtenant des explications. La séparation se passera de toute façon si elle doit se passer. Alors, prenez-la comme l’événement qui marquera votre nouveau départ. Vous verrez ! Ce sera beaucoup plus facile et envoûtant.

Cet exemple en est un parmi tant d’autres.

J’ai un cadeau pour vous…

À travers cette chronique, je souhaite vous sensibiliser à l’importance de chacune de nos actions sur nous-mêmes et sur autrui. Personne n’est parfait et chaque épreuve est dure à vivre. On est tous confrontés, tous les jours, à des situations qui nous ramènent à des moments douloureux du passé. Notre esprit s’y focalise et on en perd le goût du moment présent.

Vous savez quoi ?

On va faire un petit pacte entre vous et moi.

Exercice pour améliorer sa vision positive et voir les choses de manières plus positive au quotidien.

Ayez toujours un petit carnet sur vous et un stylo. Ou vraiment si vous ne pouvez pas, notez sur votre smartphone.

Ainsi, dans votre vie quotidienne, à chaque fois que vous trouvez quelque chose de drôle, d’amusant, de profond qui remplit votre âme de l’intérieur, notez-le.

Par exemple, si vous voyez la beauté d’un paysage enneigé, notez-le. Si vous apercevez quelqu’un chanter dans la rue et que ça vous fait sourire, notez-le. Un enfant qui rit à une sortie d’école, notez-le. Faites tout pour mémoriser ces instants de bonheur que la vie vous offre.

Dans quelque temps, lorsque vous vous retrouverez devant un arbre, même  sous 30°C plein soleil, vous l’admirerez quand même ! Il vous rappellera ce moment que vous avez ancré à votre mémoire et il deviendra magique. Vous serez ainsi connectés à la nature.

C’est bête, mais un arbre, ça court les rues, n’est-ce pas ? Et pourtant, combien d’arbres nous voyons au printemps sans nous rendre compte des bourgeons qui y poussent ?! Combien d’enfants rient en nous laissant pour autant insensibles ?

De cette façon, on formate son cerveau à regarder le positif et à aspirer au positif. Tout bête comme exercice, pas vrai ?

Résultat garanti 😊

« Aimez la paix et poursuivez la paix »

Par la paix, on entend la paix avec les autres et surtout la paix intérieure. Mais si on est en conflit avec quelqu’un, on se sent tourmenté, n’est-ce pas ?

À la fin de chaque semaine, prenez le temps de penser à un moment qui s’est mal passé, et tentez de réfléchir objectivement aux raisons pour lesquelles cela n’a pas été.

Les « peut-être parce que j’ai été … », « j’aurais peut-être dû … » notez-les. Surtout s’il s’agit d’un manque de réceptivité, d’écoute, d’attention, ou simplement du fait de votre humeur, de votre ras-le-bol, de votre fatigue.

ATTENTION !

Cet exercice ne doit pas servir à nourrir les rengaines, mais bien au contraire, à désamorcer les tensions intérieures qui vous pèsent.

En faisant cela, vous trouverez sûrement des reproches à vous faire.

Mais au lieu de vous en vouloir par la réaction, agissez par la réponse. Si vous avez fait du mal à une personne qui est extrêmement susceptible, qu’importe, le mal est fait, dites-lui pardon.

Vous allez sûrement me dire :

« Tu crois que c’est facile, après autant d’années de souffrance, de conflit … ? »

J’anticipe ma réponse.

Je sais que c’est difficile.

En tous cas au début. Alors pour vous motiver, penser aux bienfaits que ce geste va vous procurer. Si la personne vous pardonne, vous trouverez la paix. Sinon, tant pis pour elle, votre paix intérieure sera quand même présente puisque vous avez agi avec cœur et courage. Vous avez tourné la page pour vous.

Si la personne en question était un inconnu, prenez sur vous de repenser à cette note si la situation se réitère avec quelqu’un d’autre.

Si c’est vous la « victime », dialoguez.

De cette façon, vous rétablirez vos conflits intérieurs et éviterez une souffrance destructrice. C’est par des petites choses qu’on évite ou qu’on produit les plus grands dégâts !

Keep smiling,

Audélya

Le guide ultime pour devenir plus heureux et plus positif dans votre vie

Réveillez le diffuseur de positif qui est en vous et impactez durablement votre vie et celle des autres.


"C'est le livre qui me fallait !"

"[...] Je n'ai pas l'habitude de publier, de me confier ou raconter ma vie, mais depuis que j'ai ouvert ce livre, je suis déterminé à m'en sortir !"

"Ce livre est un vrai bonheur ! Très pratique, pragmatique et utile ! Bravo ! Il devrait être lu par beaucoup de personnes.

A propos de l'auteur

Audelya B.

Moi c’est Audélya ! Dans la forme bientôt avocate, dans le fond en développement personnel permanent !
J’aimerais restaurer le dialogue humain en toute circonstance et renouer l’esprit avec sa vision optimiste originelle. Ainsi, chacun se sentira confiant intérieurement, bienveillant envers l'Autre et tellement heureux.

  • Article interessant.
    On prone que la communication est inée et un besoin pour l etre humain.
    Nous sommes effectivement dans une nouvelle communication basée sur les reseaux sociaux et celle ci effectivement degrade nos rapports physiques et psychologiques.
    J en conclu que la communication aussi est propre à chaque culture et dans le pays dans lequel on evolue.
    La communication devrait donc s inscrire comme discipline a part entiere a l ecole pour mieux agir en societe et se comprendre soi meme.

    • Audelya B. dit :

      Bonjour Nicolas,
      Tu as tout à fait raison en ce qui concerne les nouveaux moyens de communication qui ne constituent en réalité uniquement le fait de placer des écrans entre l’autre et nous.
      Chaque culture a sa façon de communiquer, certes, mais le fond est le même. Le but est de se connecter avec autrui, parler le même langage. Et je ne parle pas de se connecter par réseau wifi ou 4G :p!
      La communication devrait à mon sens être vue non pas comme une discipline mais plutôt comme une façon de vivre. Par un sourire, une parole, etc … .
      Ainsi, je te rejoins dans ta pensée. la communication doit être pratiquée et non « enseignée » (au même titre que n’importe quelle matière) au quotidien et ce, dès le plus jeune âge. C’est plus comme une règle de vie à respecter. De la même manière qu’on ne tape pas son camarade, qu’on dit merci quand on nous donne un bonbon ou autre, on doit apprendre à parler posément. Après tout, c’est la règle de vie la plus fondamentale qui touche l’essence même des quelques règles que je viens de citer.
      Si tu as d’autres remarques, n’hésite pas !

  • François dit :

    Article très intéressant qui nous responsabilise. Après tout, nous avons toujours le pouvoir d’agir sur notre relation avec les autres, et la communication positive en fait partie !

    • Audelya B. dit :

      Tout à fait! C’est d’ailleurs via la communication qu’on agit.
      Merci pour ce commentaire positif!!

    • Audelya B. dit :

      C’est un réel plaisir 🙂

  • Je suis convaincue que la communication est la base de tout, mais malheureusement quand la personne en face de vous refuse toute communication, refoule tout, comment faire ???

    • Emmanuel dit :

      Bonjour Sylvie,
      L’art de prendre la parole ne serait-ce que devant une seule personne n’est pas donné à tout le monde.
      Parler, c’est un peu faire du bruit que les autres arrivent à traduire.
      S’exprimer et réussir à dire les choses que l’on ressent demande un réel apprentissage.
      Un jour quelqu’un a dit: « Plus de la même chose donne plus du même résultat »
      Si à chaque essai de dialogue, le résultat n’est pas celui escompté, je vous propose de changer, de modifier, d’orienter différemment vos propos.
      C’est plus facile à écrire qu’à faire……….Pas sûr.
      Bonne journée à vous.
      Emmanuel.

    • Audelya B. dit :

      Effectivement, Sylvie, tu relèves un gros problème. L’absence de communication est un fléau pour l’humanité.
      S’il est difficile de communiquer par la parole avec certaines personnes, c’est que cette personne n’est pas apte à écouter ce type de langage. Cela ne la rend pas pour autant inattentive aux autres formes de langages telles que le silence, le langage corporel, etc… .
      En réalité, une personne inapte à écouter le langage de la parole est une personne enfermée dans des barricades cérébrales. Pour casser ses fondations, il faudrait la surprendre en la sortant de sa zone de confort, pour que ses repères disparaissent. Ainsi, il pourra s’en fixer de nouveaux, plus élaborés, plus vrais, et ce n’est qu’à ce moment que l’écoute sera présente.
      Hurler dans les oreilles d’un sourd ne le fera pas comprendre ce que vous dites pour autant!

  • Bravo pour ce 1er article plein de bon sens ! Plus difficile à mettre en pratique, mais il faut s’armer de patience…

    • Audelya B. dit :

      Merci beaucoup Diane! Je suis sûre qu’ensemble on y arrivera! C’est de cette façon que toutes les choses négatives se mettent en place donc pourquoi ne pas agir de la même façon pour du positif cette fois?

  • De nos jours, non seulement les gens ne se communiquent plus mais ne se regardent même plus (l’exemple du transport en commun est flagrant, dans un train bondé, presque tous les gens qui sont assis, sont occupés à regarder sur leur smartphone ou sur leur portable), c’est hallucinant de voir ça !
    Le problème, c’est que ce phénomène ne se limite pas seulement dans les transports mais aussi dans les restaurants, un lieu de partage d’un bon repas, même là, on voit les gens les yeux rivés sur le smatphone, complètement déconnectés de ce qui les entoure, c’est triste d’en arriver là.
    Si les gens prenaient le temps d’être ensemble pour se parler de belles choses de la vie (au lieu des choses négatives), et s’ils se déconnectaient de tous ces appareils qui les isolent les uns des autres, ils se sentiraient mieux.

    Je trouve pas mal l’idée de noter sur un carnet, tous les moments positifs de la journée, ça nous permet d’être plus concentré sur le positif.

    Merci Audelya

    • Audelya B. dit :

      C’est un plaisir de lire ton commentaire! Visiblement ça te révulse tout autant que moi.
      Il s’agit d’un phénomène qui malheureusement touche de plus en plus de monde sur la planète et à mon sens, c’est du travail de chacun d’affirmer son choix de ne pas rentrer dans le moule sans pour autant se déconnecter des nouvelles technologies (sans ça tu ne pourrais pas lire cet article =D!)
      Si chacun surprend l’autre en agissant par un sourire, par une conversation entamée, en prenant sur soi quelque chose qui sorte de l’ordinaire, les sens de l’autre seront éveillés.
      N’hésite pas à me faire des retour sur l’expérience du carnet!

  • Article très bien écrit et qui donne les bonnes pistes pour se familiariser avec la pensée positive.

    • Audelya B. dit :

      Merci beaucoup Léna c’est très encourageant! La sensibilisation à toute chose c’est le premier pas d’un long chemin vers elle 🙂

  • {"email":"Email address invalid","url":"Website address invalid","required":"Required field missing"}
    >