Chronique et résumé de « Le pouvoir du moment présent » d’Eckhart Tolle.

Par Lirone 

Temps de lecture:  minutes

Phrase-résumée de « Le pouvoir du moment présent » : « Le pouvoir du moment présent » vous révèle quelle est l’illusion fondamentale qui gouverne votre vie et comment vous en libérer.

Titre original : The power of Now.

Cette chronique est une chronique invitée écrite par Blacksheep du blog The Black Sheep le Blog.

Eckhart Tolle explique dans l’introduction comment sa vie a basculée à l’âge de trente ans, d’un état d’anxiété continuelle traversé de périodes de dépression suicidaire pour passer à un état de paix intérieure permanente.

Après ce basculement spirituel profond, Eckhart Tolle est devenu enseignant spirituel. Le livre « Le pouvoir du moment présent » représente l’essence de son travail d’enseignement tel qu’il l’a mis en place pendant une dizaine d’années.

Le livre est présenté sous la forme de questions / réponses réparties en 10 chapitres. De façon régulière, le lecteur est invité à arrêter sa lecture afin de méditer sur le sens profond de ce qu’il vient de lire.

En effet, comme il le dit dès l’introduction et ne cessera de le répéter durant tout le livre, pour Eckhart les mots ne sont que des points de repère et non la chose même que son enseignement tente de transmettre, de la même façon que les panneaux de signalisation routière ne sont que des indications sur la route à suivre, et non pas la route elle-même.

Il est possible de regrouper les enseignements du livre en 3 axes principaux que sont la désidentification au mental, la conscience et le moment présent. On peut cependant y ajouter un quatrième, qui est, selon Eckhart Tolle, la conséquence des trois autres, à savoir la Paix.

​1. La désidentification au mental

Le mental, c’est la voix qui habite votre tête.

C’est la voix qui parle lorsque vous pensez.

C’est la voix qui parle lorsque vous réfléchissez.

C’est la voix qui parle lorsque vous lisez dans votre tête.

Mais c’est aussi la voix qui dit « je m’appelle Sylvain » ou encore « je fais tel ou tel métier » ou encore « j’aime le chocolat et je déteste les épinards ».

Beaucoup de gens s’identifient à leur mental. Si on leur demande de définir qui ils sont, ils diront ce qu’ils font dans la vie, ce qu’ils aiment ou n’aiment pas, et mille autres choses du même genre.

Pourtant, ils ne répondent pas à la question, car ils se contentent en fait de décrire leur mental. Ou plutôt de décrire ce que leur mental leur répète toute la journée en boucle dans leur cerveau.

Le premier axe principal d’enseignement d’Eckhart consiste à vous faire prendre conscience du fait que vous n’êtes pas votre mental.

L’identification au mental entraîne l’incapacité à pouvoir s’arrêter de penser. En effet, étant identifiées à la voix qui leur parle dans leur tête, la plupart des personnes ne peuvent plus alors s’arrêter de penser, c’est-à-dire justement s’arrêter d’écouter cette voix, puisque alors réduire leur mental au silence reviendrait à supprimer la définition qu’ils se donnent d’eux-mêmes, et donc à disparaître.

La pensée devient alors compulsive. Elle crée un flot permanent de pensées en tout genre, un écrans d’idées, de concepts, de mots ou encore de jugements entre la personne qui porte ces pensées et elle-même, entre elle et les autres, entre elle et le monde.

Selon Eckhart, la pensée, qui est un fabuleux outil utilisé par les êtres humains, fini alors par prendre totalement possession de nous à cause de cette identification au mental.

Ceci constitue une illusion. Si vous vivez identifié à votre mental, vous vivez alors dans l’illusion. Dans l’illusion que vous êtes votre mental alors que vous ne l’êtes pas, dans l’illusion qu’un tel ou une telle sont comme ceci ou comme cela alors que ce jugement n’est que partie de l’écran de pensées incessantes qui vous sépare des autres.

Mais plus profondément encore, toutes ces illusions vous mènent alors à poursuivre des objectifs chimériques qui ne vous peuvent vous apporter rien de mieux qu’un bonheur insaisissable.

Par exemple, vous travaillez d’arrache-pied pour avoir une promotion au sein de votre entreprise, et une fois que vous l’avez obtenue vous n’êtes toujours pas satisfait sans vraiment savoir pourquoi. Et cette insatisfaction est en vérité due à ce que ce n’était pas vraiment vous qui désiriez cette promotion, mais votre mental. Et ce pour la raison que l’écran opaque de pensées et de jugements vous maintenait dans l’illusion que vos proches ne seraient vraiment fier de vous que si vous obteniez cette promotion, ou pour toute autre raison du même acabit.

Pour se libérer de ces illusions néfastes, Eckhart indique le chemin de la conscience et du moment présent.

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2. La conscience

L’observation fondamentale d’Eckhart Tolle est la suivante:

Essayer de se battre contre la souffrance engendrée par l’illusion d’identification au mental entraîne la création d’un conflit intérieur, et par conséquent davantage de souffrance encore.

La solution consiste donc bien plutôt en la conscience.

Car la souffrance se caractérise comme une résistance que celui qui souffre tente d’opposer à quelque chose qu’il ne peut pas changer. L’identification au mental entraîne beaucoup de souffrance parce qu’elle crée une résistance à la réalité.

Nous n’acceptons pas la réalité parce que cela entraînerait pour nous l’arrêt de l’illusion de la pensée compulsive, et donc, croyons nous, notre propre disparition puisque justement nous nous sommes identifiés à cette pensée compulsive.

Mais lutter contre cette pensée compulsive en entraîne encore davantage. Essayez donc d’arrêter de penser pendant une minute. Y parvenez-vous ? À chaque fois que vous vous dites : « C’est bon. J’arrête de penser. »  vous vous mettez alors à penser à cette tentative !

Comment donc y parvenir ?

La réponse d’Eckhart est : par la conscience.

Il s’agit de vous mettre à « observer le penseur » à l’intérieur de vous. Lorsque la pensée tourne en boucle dans votre tête, écoutez-la simplement sans porter aucun jugement. Ecoutez le penseur présent dans votre tête. Vous vous désidentifiez alors de lui. Vous êtes alors parvenu à un état de conscience plus profond.

Bien-sûr, vous n’y parviendrez pas pendant longtemps dès le début. Des jugements vont se présenter à vous qui observez. Lorsque des pensées se présenteront, vous tomberez parfois dans le piège de penser « ce n’est pas bien de penser cela » ou « c’est très bien de penser cela ». Immédiatement alors, vous vous identifiez de nouveau à votre mental. Vous sortez alors de l’état de conscience recherché.

Eckhart Tolle présente plusieurs portes d’accès possibles à cet état de conscience. J’en présente ici seulement deux parmi ceux enseignés dans son livre.

La première est donc « d’observer le penseur » sans rentrer vous -même dans le flot mécanique de la pensée. Cette observation de la formation des pensées dans votre esprit va créer une profondeur entre vous et vos pensées. Cette profondeur va permettre la prise de conscience que vous n’êtes pas votre mental. Vous serez alors conscient.

La seconde porte d’accès à la conscience que je présente ici est le corps.

Il s’agit d’habiter votre corps, de sentir votre corps de l’intérieur, de focaliser toute votre attention sur votre corps. Si vous ne prêtez plus attention aux images, pensées et représentations que vous avez de votre propre corps, mais que vous vous concentrez entièrement sur cette sensation de l’habiter, alors se produira aussi la désidentification au mental. Vous serez alors conscient.

Lorsque l’on est conscient, on est alors totalement dans le moment présent. Et réciproquement, si l’on est dans le moment présent, on se trouve alors ipso facto dans un état de conscience supérieur à l’état d’identification au mental.

Pour Eckhart Tolle, il s’agit de deux faces d’une même chose plus profonde, située au-delà des illusions.

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3. Le moment présent

En effet, lorsque vous vous identifiez à votre mental, la pensée compulsive vous entraîne à vivre quasiment toujours dans le passé ou dans le futur. Ceci parce que pour votre mental, le passé est ce qui vous donne une identité, tandis que le futur vous apporte des promesses d’accomplissement, quelles que soit la forme qu’elles puissent revêtir.

Mais Eckhart Tolle nous rappelle que le passé et le futur ne sont que des illusions créées par le mental. Ils ne sont pas réels. La seule chose vraiment réelle, c’est le moment présent.

Si vous parvenez à rompre l’illusion du temps, c’est-à-dire l’illusion que le passé vous poursuit et que le futur vous attend, et si au lieu de cela vous vivez pleinement l’instant présent, alors vous vous libérerez de l’identification au mental.

Eckhart insiste bien sur le fait que l’illusion du temps et l’illusion de l’identification au mental ne sont que deux façons d’aborder une seule et même illusion. D’une part l’identification au mental entretien l’illusion du temps par le flot incessant de pensées en tout genre se rapportant au passé ou au futur. D’autre part, l’illusion du temps entretien à son tour l’identification au mental parce qu’elle entraîne la recherche d’une identité à partir du passé et en fonction du futur.

Eckhart explique cependant que, de même que la pensée, et donc aussi le mental, sont des outils très utiles voire vitaux pour l’être humain, de même passé et futur sont des concepts très utiles : le passé peut nous permettre de tirer des leçons de nos expériences, tandis que le futur peut nous permettre d’anticiper certains évènements. Mais le problème qu’il souligne est que, pour la plupart des gens, ces outils prennent possession de leur utilisateur. Et ceci crée un dérèglement grave qui engendre énormément de souffrance dans nos société contemporaines.

Le but d’Eckhart Tolle est de nous apprendre comment nous servir des ces outils sans tomber dans les illusions et la souffrance qu’un usage déréglé peut en faire naître.

La conscience et le moment présent sont les deux clefs permettant de se libérer de ces illusions. Ces deux clefs mènent à la paix profonde.

4. La paix

La Paix est située au-delà de l’opposition bonheur / malheur, au-delà de l’opposition bien / mal. La Paix est plus intense que le bonheur, en un sens on pourrait même dire qu’elle est plus réelle. Parce que le bonheur dépend de conditions extérieures que l’on qualifie de positives, alors que la Paix n’en dépend absolument pas.

La Paix est ce qui ressort lorsque l’on prend conscience que les circonstances de la vie ne sont en elles-mêmes ni positives ni négatives. Qu’elles ne sont en elles-mêmes ni bonnes ni mauvaises. La Paix peut alors apparaître comme ce qui est au-delà du bien et du mal, comme ce que l’on pourrait appeler « le bien supérieur ».

Pourquoi les évènements de la vie ne sont en eux-mêmes ni bons ni mauvais ? Parce que les notions de bien et de mal sont édictées par les pensées compulsives du mental qui s’interpose de façon permanente entre nous et les évènements de la vie.

Par exemple, Eckhart cite en illustration l’échec, dans n’importe quel domaine que ce soit. L’échec constitue pour un grand nombre d’êtres humains un évènement négatif, voire un malheur, alors que pour d’autres personnes, l’échec s’est révélé comme leur plus grande source d’enseignement sur la vie.

Mais parfois, lorsque survient par exemple un accident, ou la mort d’un proche, tout va vraiment mal. Eckhart ne nie évidemment pas cela, au contraire il souligne que dans de tels cas, il est impossible d’être heureux. Par contre, il est possible d’être en paix, et c’est pourquoi ses enseignements parlent de paix et non de bonheur. La tristesse sera là, les pleurs aussi sans doute, mais sous ces apparences seront présentes la sérénité et la Paix intérieure.

Eckhart utilise l’image d’un lac profond. La personne qui traverse ces malheurs est le lac. Les évènements et les émotions sont la surface du lac, qui peut être très agitée. Mais en profondeur, l’eau est impassible.

Être conscient, accepter le moment présent, correspondent à la réalisation du fait que vous êtes le lac tout entier, et non pas seulement sa surface.

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Conclusion

Lorsque j’ai lu ce livre pour la première fois, je dois bien avouer que j’ai commencé d’une façon nonchalante et peu convaincue de ce que sa lecture puisse vraiment mener à un quelconque éveil spirituel.

Pourtant, j’ai bien rapidement été contraint de revenir sur ce mauvais état d’esprit qui était le mien. Car l’écriture d’Eckhart Tolle est claire et efficace. Elle vous impacte très vite dans vos pensées.

Essayez de lire ce livre comme un roman que vous liriez dans une salle d’attente, l’esprit occupé par mille autres choses que ce que vous êtes en train de faire. Vous n’y parviendrez pas. Car les mots d’Eckhart ont l’étonnant pouvoir de vous ramener à l’essentiel.

Certains passages peuvent cependant paraître assez compliqués. Eckhart ayant étudié la philosophie, il n’hésite pas à employer des concepts assez subtils tels que la différence entre « transcendant » et « transcendantal ». Mais replacés dans leur contexte, et en accord avec la ligne de conduite maintes et maintes fois répétée que les mots ne sont que des indications des choses et non les choses elles-mêmes, ces passages deviendront probablement pour vous parmi les plus enrichissants.

Après avoir lu « Le pouvoir du moment présent », je n’ai jamais réellement pu revivre de la façon qui était la mienne avant cette lecture. Les moments de forte inquiétude comme les moments où j’ai dû lutter contre la maladie (je suis diabétique de type 1), je ne les ai vraiment plus vécus de la même façon. C’est difficile à décrire précisément avec des mots, mais face à de tels soucis, en choisissant de rester malgré tout dans le moment présent, c’est un peu comme si votre être se séparait en deux personnes : la première qui panique et qui correspond probablement à ce qu’Eckhart appelle le mental, et la seconde qui reste parfaitement sereine, malgré les évènements.

La clef est vraiment la désidentification au mental. Vous n’êtes pas votre mental. Votre mental est un écran opaque de pensées et jugements en tout genre, souvent issus des opinions des autres, de ce que vous avez entendu dans les médias ou encore même de ce que vous avez vécu pendant votre enfance. Tout cela, ce n’est pas vous. Sortir du mental implique sortir du troupeau, avoir le vrai sens de soi. Pour comprendre ce que signifie sortir du troupeau, j’ai écrit l’article « Vaincre l’instinct de troupeau » que vous pouvez lire en cliquant sur le lien.

« Le pouvoir du moment présent » n’est pas le seul livre, et encore moins la seule source d’enseignement pour apprendre à faire face à des périodes de difficultés. Beaucoup d’autres livres et enseignements peuvent aussi vous donner des méthodes plus ou moins efficaces pour rester calme dans ces situations. Cependant, ces méthodes paraissent généralement plutôt simples à appliquer au moment où l’on n’a pas trop de soucis, et dans les moments plus difficiles de la vie, justement lorsque l’on en éprouve le plus le besoin, ces techniques deviennent très difficiles à appliquer, voire impossible.

Par exemple, la méthode de la pensée positive, qui consiste à penser des phrases positives. Dans des moments de calme, c’est très facile, mais dans des périodes de trouble, où l’on se met à déprimer, cela devient quasiment infaisable que de penser des affirmations positives.

La force des enseignements d’Eckhart Tolle repose sur le fait qu’ils s’appliquent à tous les instants : aux instants de joie intense comme aux instants de dépression profonde, en passant par tous les instants bien plus banals de la vie.

Car la désidentification au mental ne doit pas se produire seulement en cas de malheur, mais bien de façon continuelle tout au long de la vie. Plus encore : si l’on est incapable de se désunir de son mental pour atteindre le moment présent en période de joie ou de calme, ceci nous sera alors totalement impossible en cas de période de difficultés car trop difficile.

Eckhart souligne aussi que si l’on reste identifié au mental, nous pouvons il nous sera tout de même possible de connaître des instants de joie. Comme par exemple lorsque l’on réussit une chose que l’on avait entreprise. Mais cette joie ne sera pas alors la joie profonde de la paix intérieure, mais seulement une satisfaction passagère du mental d’avoir réussi, et non pas une satisfaction profonde de vous-même en tant qu’être.

Pour reprendre la métaphore du lac profond, la surface, c’est-à-dire le mental, peut bien-sûr connaître des périodes de calme. Donc si vous vivez à la surface vous pouvez vous aussi connaître de telles périodes de calme. Mais justement parce qu’il s’agit de la surface, le calme ne pourra pas durer toujours, le vent va se remettre à souffler et la surface sera de nouveau agitée.

C’est une des forces du livre d’Eckhart que de nous entrainer à vivre toujours en profondeur. Ce n’est pas parce que la surface est calme que vous pouvez y remonter. Non, car vous savez très bien qu’elle redeviendra agitée. Et à ce moment-là il vous sera presque impossible de retourner dans la paix des profondeurs.

Restez donc en profondeur.

« Le pouvoir du moment présent » deviendra l’élément déclencheur de votre éveil à l’instant présent, c’est-à-dire de votre voyage pour habiter les profondeurs du lac.

Ce n’est pas ce livre qui vous rendra profond : vous l’êtes déjà.

Mais Eckhart va vous enseigner comment demeurer dans ces profondeurs.

Points forts

  • Le format de présentation en questions / réponses.
    Souvent, la question posée est une question que l’on était justement en train de se poser pendant la lecture. De plus les réponses apportées sont précises et répondent vraiment aux questions auxquelles elles se rapportent.
  • L’enseignement d’Eckhart est intemporel et dépasse tous les clivages.
    Quels que soient votre âge, vos conditions sociales, que vous ayez une religion ou non ; Eckhart s’adresse à vous et vous pourrez vous retrouver dans son message.
  • Le texte est profondément cohérent.
    Plus qu’un simple livre de développement personnel, « Le pouvoir du moment présent » peut être considéré comme une philosophie. Son message global reste cependant très accessible.

Points faibles

Quelques passages sont assez obscurs. Mais ceci reste sans incidence sur le message global du livre

Le guide ultime pour devenir plus heureux et plus positif dans votre vie

Réveillez le diffuseur de positif qui est en vous et impactez durablement votre vie et celle des autres.


"C'est le livre qui me fallait !"

"[...] Je n'ai pas l'habitude de publier, de me confier ou raconter ma vie, mais depuis que j'ai ouvert ce livre, je suis déterminé à m'en sortir !"

"Ce livre est un vrai bonheur ! Très pratique, pragmatique et utile ! Bravo ! Il devrait être lu par beaucoup de personnes.

A propos de l'auteur

Lirone

Je m'appelle Lirone et j'écris sur ce blog depuis 2016. J'aide les personnes à devenir plus heureuses et plus positives au quotidien grâce à la psychologie positive.
J'ai développé le concept de diffuseur de positif : une personne bien dans ses baskets et qui impacte positivement directement et/ou indirectement son entourage.
L'idée est simple, plus il y aura des diffuseurs de positifs, plus le monde ira mieux.

  • Article très complet. Merci. Comme beaucoup de personne j’ai beaucoup aimé ce livre. Particulièrement le passage sur la Peur. La peur n’est qu’une manipulation de l’esprit….

  • Christine dit :

    Bonjour Lirone et merci pour cet article très intéressant. Je viens justement d’acheter ce livre et tu m’as donné envie d’y plonger… en profondeur (comme dans le lac…). Bien à toi

  • Super article, merci pour ça !

    Un livre que je viens de terminer et que j’ai trouvé réellement percutant c’est : Le Guide de Base de la Maîtrise de Soi, de Charles Haudebrun.

    Je le conseille pour ceux qui cherchent des bouquins motivants et qui ouvrent l’esprit !

  • 100% d’accord avec toi, mon moto : plus de paix dans les coeurs pour plus de paix dans le monde

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